J’aime le sexe rude et le BDSM

Catégories : Femmes soumises SM camisole Selfbondage auto bondage
il y a 1 an
Mon mari est adorable dans la vie et un amour doux au lit. Le souci est que j’aime le sexe rude et le BDSM que j’ai pratiqué avant de le connaître. Quand je lui ai dit que j’aimais aussi être bousculée, attachée, fessée, fouettée puis être utilisée comme une esclave sexuelle, il était tout penaud.

Il me disait qu’il était incapable de me faire du mal.

Je lui ai expliqué que ce n’était pas faire du mal mais donner du plaisir autrement et aussi, une autre façon de faire l’amour. Il a essayé pour me faire plaisir de me fesser, mais j’aurais très bien pu écrire des textos pendant ses fessées après lesquelles il s’excusait de m’avoir fait mal...

Les vidéos de BDSM ou sexe BDSM dit « rude » que je lui ai faites voir sur Internet le gênaient, il trouvait ça « méchant » ou « cruel ». Lorsque je lui faisais voir que cela me faisait mouiller ,il ne comprenait pas. Il ne comprenait pas, que l’on puisse aimer et jouir en se faisant sauter sauvagement ou dans la douleur, cette forme de douleur plaisir qui apporte bien d’autres sensations qu’un simple orgasme.

Comme indiqué précédemment, mon mari est un véritable amour. Il a donc fini par accepter de m’attacher de temps en temps pour me faire l’amour. Aussi charmant qu’il soit, même en essayant de me faire plaisir, c’était toujours trop doux, trop soft pour moi. Je sentais bien que tout cela le perturbait et finirait par mettre notre couple en péril. J’ai donc décidé de ne plus en parler, car je l’aime plus que tout au monde.

Pour compenser un peu mes manques de BDSM, en son absence je me suis mise au selfbondage, au self BDSM jusqu’au jour où il a découvert « mes jouets » cachés dans un carton en bas de l’armoire. Autant dire que j’étais horriblement gênée.

Comme il s’est posé de mauvaises questions du type est-ce que j’avais un amant, c’est donc comme une gamine prise en faute, que j’ai du lui expliquer que je jouais seule avec des menottes, des pinces à sein, des plugs, un bâillon ouvert en métal, des .....

  • Si je comprends bien, au lieu de me tromper, tu fais du BDSM toute seule pour compenser ces plaisirs particuliers que je n’arrive pas à te donner ? M’a demandée mon mari.

En me voyant rougir en lui faisant « oui » de la tête, il était très gêné. Pour lui ce n’était donc pas un bon mari, puisque j’étais insatisfaite ! ! ! Pour chasser ses mauvaises pensées, je lui ai sauté dessus pour lui faire deux tonnes de bisous. Et là, il m’a demandée de lui faire une démonstration ! ! !

Heu.... Comment dire ? Comment dire que c’était difficile pour moi de réaliser un selfbondage avec un spectateur ?

  • C’est très gênant mon amour, c’est comme si je te disais de t’asseoir dans le canapé et de te branler en faisant comme si je n’étais pas là, mais avec moi comme simple spectatrice !

  • Je comprends, mais tout cela est aussi difficile pour moi ! M’a répondu mon mari.

  • Et si je te faisais comme une surprise demain soir quand tu rentres ?

Il a accepté ma proposition sans même discuter, quand je disais que c’est un amour ! Et c’est comme ça, que notre vie de couple a commencé à évoluer. Sa femme est devenue son « cadeau », son esclave une fois par semaine. Au début, il était très soft mais cela a bien évolué. Non pas qu’il soit devenu un Maître, non, ça il n’en est pas capable, mais parce qu’en voyant le plaisir qui était le mien quand il acceptait de jouer le jeu, il était heureux.

La première fois, je m’étais attachée sur le lit, couchée sur le dos, bras et jambes écartées. J’avais mis des bas, un porte-jarretelles puisqu’il aime la lingerie mais pas de culotte. Dans mes fesses se trouvait mon « copain » plug, des pinces à sein ornaient sur mes tétons, un bandeau masquait ma vue (j’adore) et mon bâillon bouche ouverte m’empêchait de parler. Entre mes jambes, il y avait un petit martinet et un papier lui indiquant que son esclave sexuelle avait osé se masturber en son absence et méritait d’être punie avant de lui servir de vide couilles.

Si ses coups de martinet étaient plus des caresses qu’une correction, les pinces à sein elles, m’en ont faite baver. En effet, tout cela l’avait finalement excité avant son arrivée, tout comme de me voir en bas et porte-jarretelles en guise de cadeau. Après la pseudo correction trop câline, il ne s’est même pas dévêtu pour me sauter. Si bien qu’avec son pull, il n’a pas vraiment été gêné par mes pinces à sein. Au départ, j’ai beaucoup souffert des tétons, et puis une fois « bien chaude » grâce aux effets plug + sexe + bondage + douleurs SM, j’ai décollé comme une malade. Mon amour était devenu un démon, un démon d’amour profitant de son esclave. Comme j’ai carrément trempé les draps de plaisir suite à plusieurs jouissances, il a pu constater que cela m’avait fait des choses...

Après m’avoir libérée, il m’a demandée comment il avait été. Le pauvre, il ressemblait à un puceau qui vient de faire l’amour pour la première fois. Entre les gros bisous, je lui ai répondu qu’il avait été divin, en lui faisant voir qu’il fallait changer les draps, tant il avait été bon. J’ai juste ajouté que la punition au martinet, n’avaient été que des caresses et qu’il fallait qu’il y ait quelques marques, pour que cela soit encore meilleur.

Les choses ont donc commencé à évoluer. Sa condition était que cela ne soit que de temps en temps... Snif, snif, snif ! En soumise perverse, j’ai trouvé un moyen de lui donner des envies de jouer avec son esclave. Lorsque je suis trop en manque, je me lève avant lui pour préparer le petit déjeuner en ne portant que de la lingerie fine sur moi, tout en prétextant, que je suis trop en retard pour faire l’amour. Mon petit jeu d’allumeuse, diplômée de chez garce, est accompagné de quelques bisous et d’une caresse entre ses jambes. En clair je l’allume, je le provoque un max avant de lui demander si, il souhaite avoir une esclave à sa disposition quand il rentrera. Cela fonctionne presque à chaque fois.

Je m’égare ! Venons-en à l’étape suivante où il s’est vraiment lâché. Il faut dire qu’en plus de mon jeu du matin, je lui avais adressé des textos coquins pendant la journée. Il n’a pas aimé mes textos. Il est vrai qu’en étant directeur d’un service dans une banque, ce n’était pas très malin de ma part et cela ne pouvait que le gêner.

Lorsqu’il est rentré à la maison ce fut réellement la fête de l’esclave qui, en plus des textos, avait osé lui écrire le mode d’emploi de son cadeau.

  • Ne pas prendre de douche avant de profiter de la bouche de son esclave, elle est là pour ça.
  • Ne pas hésiter à punir l’esclave même entre ses cuisses, elle le mérite.
  • Après l’avoir punie, ne pas hésiter à retirer le plug pour la sodomiser sans précaution.
  • Après avoir joui, la bouche d’une esclave sert à la toilette du Maître.

CE FUT MA FETE PUISSANCE 10

Pour lui plaire le plus possible et l’exciter à le rendre fou, j’avais mis des bas et un porte-jarretelles, mes grandes bottes. Au milieu du lit, un coussin placé sous mon ventre exposait grandement mes fesses et mon plug. J’étais attachée bras et jambes écartées, j’avais mis une cagoule en cuir mais ouverte au niveau de la bouche ainsi que mon bâillon. Les fameuses pinces à sein étaient également de la partie. Au lieu de laisser mes longs cheveux libres comme il aime, je m’étais faite une queue de cheval pour le provoquer et lui offrir ma « tignasse » comme poignet afin de l’aider à sauter ou bousculer son esclave.

L’attente fut longue parce que mon « putain » de vibro avait glissé et ne jouait plus son rôle qu’avec les draps. GRRR

La frustration décuplait malgré tout mon excitation comme il a pu le constater en me fouillant dès son arrivée. A travers le bâillon ouvert il m’a fait lécher ses doigts au goût de « femelle » en chaleur. Pour me motiver à le sucer, après avoir retiré mon bâillon, il a entrepris de me fesser au martinet. Oui mais quand on est fessée au martinet dans ce sens, la pointe des lanières arrivent pile poil sur les lèvres du sexe. Comme je couinais de douleur, il a cru que je prenais du plaisir.

Si j’aime la douleur plaisir, c’est malgré tout après un « échauffement », un peu comme les marathoniens qui s’échauffent avant la course. Là, comme échauffement, je n’avais que mon selfbondage sans le vibro et sa queue devenant dure comme de la pierre. En plus, il essayait de me faire plaisir en me faisant des marques sur les fesses, j’ai donc pris cher au niveau du sexe au point de ne pas pouvoir mettre de culotte le lendemain. Ce n’est que quand il a arrêté de me « punir » pour changer de côté, .... que les « vilaines » fourmis se sont mises à grignoter les lèvres intimes fort chaudes...

J’avais souhaité du hard, j’étais servie ! La sodomie a du attendre qu’il « mouille » son sexe dans mon chaton qu’il a qualifié de fournaise. Le quatuor bondage + pinces à sein écrasées + sexe + plug solidaire du sexe, m’a envoyée dans la stratosphère du plaisir, au point de me faire hurler. Lorsque Monsieur a estimé qu’il faillait passer aux choses sérieuses, il s’est retiré pour s’attaquer à l’intrus bloquant le passage du dernier orifice à visiter. C’était la première fois qu’il retirait un plug, il a fait ça sans précaution comme si il faisait sauter le bouchon d’une bouteille de champagne ! (Aie)

L’intrus retiré, l’étroite place fut (trop) rapidement comblée. Il lui a fallu quelques « han » de bûcheron pour se décontracter et y trouver du plaisir. Cette fois, l’additions des effets pinces + bondage + sexe rude m’a envoyée voir les étoiles. J’ai cru défaillir tant je jouissais quasiment sans discontinuer. Pour une fois, quand il s’est logé profondément en moi pour éjaculer, j’étais contente que cela s’arrête tant j’étais épuisée.

Monsieur s’est retiré prestement de l’étroit passage devenu bien plus souple pour suivre à la lettre le mode d’emploi. Sauf que là, je n’étais plus aussi excitée que lorsque j’avais écrit le scénario. Le sucer après une sodomie ne me faisait plus autant vibrer. Il ne m’a pas laissée le choix, je n’ai pas résisté non plus, pour officier en priant pour que cela soir propre. Malgré le fait qu’il ait joui, sa verge ne ramollissait pas comme d’habitude. Mon sadique d’amour en a profité pour revisiter les deux orifices de son esclave épuisée qui, pour la première fois, s’est vraiment sentie « esclave ».

Après s’est soulagé dans le creux de mes reins, cette fois il ne s’est pas fait sucer. Il est allé prendre une douche en me laissant entravée, ouverte, perdue dans mes émotions d’esclave heureuse et comblée.

A présent, nous jouons un câlin sur deux, monsieur y a pris goût et commence même à m’envoyer des textos avec des ordres.

Je l’aime quand il est doux, mais je l’aime encore plus fort quand il est rustre.

Fin

TSM

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Excellent récit !
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